Vous cherchez que lire ? Voici une suggestion de texte humoristique pour se repérer dans la jungle des ouvrages déprimants (Image d’’illustration : ChatGPT. Résumé rédigé par l’IA Bard. Ce conseil a été vérifié et validé. Les ouvrages lus par VIS COMICA comportent un comicoscore.).
Précision de VIS COMICA : Cet ouvrage exigeant n’est pas toujours humoristique. David Foster Wallace est l’auteur de l’ironie et du burlesque comme fin du post-modernisme. Les 3e et 7e sections sont particulièrement remarquables et drôles.
Un truc soi-disant super auquel on ne me reprendra pas est un recueil d’essais et de chroniques de David Foster Wallace, publié en 2005. Le titre, qui est une citation de la chanson « I’m a Loser » de Beck, donne le ton du livre : Wallace y explore des sujets aussi divers que la télévision, le tennis, la foire de l’État d’Illinois, David Lynch, la théorie de la littérature postmoderne ou les croisières de luxe en mer des Caraïbes.
Le recueil est divisé en sept sections, chacune consacrée à un thème différent.
Dans la première section, « Télévision nationale », Wallace analyse les effets de la télévision sur notre culture. Il s’intéresse notamment à la façon dont la télévision nous façonne nos opinions et nos comportements.
Dans la deuxième section, « Sport », Wallace explore la relation entre le sport et la violence. Il s’interroge sur la place de la violence dans le sport et sur les raisons pour lesquelles nous y sommes si fascinés.
Dans la troisième section, « Foire de l’État d’Illinois », Wallace décrit sa visite de la foire de l’État d’Illinois, un événement annuel qui attire des millions de visiteurs. Il s’intéresse notamment à la façon dont la foire reflète la culture américaine.
Dans la quatrième section, « David Lynch », Wallace analyse le cinéma de David Lynch. Il s’intéresse notamment à la façon dont Lynch crée un sentiment d’étrangeté et d’inquiétude dans ses films.
Dans la cinquième section, « Théorie de la littérature postmoderne », Wallace discute de la théorie de la littérature postmoderne. Il s’intéresse notamment à la façon dont la postmodernité a influencé la littérature.
Dans la sixième section, « Croisières de luxe en mer des Caraïbes », Wallace décrit une croisière de luxe en mer des Caraïbes. Il s’intéresse notamment à la façon dont la croisière est une expérience artificielle et déconnectée du monde réel.
Dans la septième section, « Épilogue », Wallace réfléchit à la nature de la littérature. Il s’interroge sur la fonction de la littérature et sur la façon dont elle peut nous aider à comprendre le monde qui nous entoure.
Un truc soi-disant super auquel on ne me reprendra pas est un recueil d’essais brillants et provocateurs. Wallace y explore des sujets complexes de manière claire et accessible. Son style d’écriture est unique, oscillant entre la réflexion sérieuse et l’humour absurde. Le recueil est un incontournable pour tous les fans de David Foster Wallace et de la littérature américaine.
Pour en savoir plus sur Wallace : > une soirée de « Mauvais genres » sur France Culture, le 26 septembre 2015.