Ce qui est bien avec les études sur l’humour et l’IA, c’est qu’elles se contredisent (voir la précédente) — ce qui peut donc donner lieu à de nouvelles études et donc on ne pourra pas dire que l’IA détruit des emplois. Voici la dernière en date, narrée par Futura Sciences :
Certains s’inquiètent des effets des nouvelles intelligences artificielles génératives sur les métiers créatifs tels qu’auteur ou artiste. Et si les premiers menacés étaient en réalité les humoristes ? Dans une double étude publiée dans la revue Plos One, des chercheurs de l’université de Californie du Sud ont comparé ChatGPT 3.5 à des humains pour voir qui était le plus drôle.